Le plongeon de 40 mètres...


Rien d'éloquent n'est mesuré ou attribué à mes plongeons de 40 mètres, ni même la mention de la température de l'eau à laquelle mon corps se heurte et ce dans les différents climats que vous connaissez. Les chocs lors de l'impact sur l'eau sont calculés au milième près, cela me vient même naturellement et avec la pratique j'étonne.



Des heures à plonger... En saison estivale c'est pire, tout point d'eau de profondeur respectable me donne l'occasion de performer toujours et même plus!



Peu de renommée ne peut motiver cet excès de zèle. Que la vie me pousse à agir ainsi. J'ai tout ce qu'il faut pour me donner de l'altitude, ma vision polarisante trouve à travers les reflets du soleil l'objectif premier de cet exercice. J'espère gagner à tout coup sur mes proies, qui ont-elles aussi des adaptations qui me donnent du fil à retordre.



J'espère ne pas perdre le butin que les pygargues à tête blanche veulent me voler et j'ai hâte de voir si la famille ne s'est pas fait manger par un Grand-Duc pendant mon abscence.



Osprey, Balbuzard pêcheur, Pandion haliaetus sont mes différents noms.


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